Alors que l’humanité à célèbrée la journée internationale des droits de la femme pour l’année 2024 sous le thème « Inverstir en faveur des femmes, accélérer le progrès », nombreuses organisations féminines en RDC marient ce thème à la réalité des femmes congolaises de l’Est de la RDC.
C’est le cas des femmes encadrées par Skyborne Research Fondation sous le leadership de Madame Biibi Rehema Namegabe, qui ont exprimé leur ras-le-bol suite aux bruits de bottes qui continuent dans l’Est et qui ne favorisent pas aux femmes d’investir pour le progres.
Ces femmes membres de Skyborne Research Fondation haussent le ton au regard de la souffrance qu’en durent leurs semblables de Rutshuru, Masisi et de Nyiragogo, et d’autres coins de la partie Est de la RDC, en proie à l’activisme des groups armés.
Celles-ci vivent dans des conditions inhumaines, contrées de vivre dans des camps de déplacés et dépourvues de tout.
“Investir dans des politiques et des systèmes de protection sociale pour créer un milieu permettant aux femmes d’accéder aux marchés du travail officiel et non officiel et de s’y épanouir, comme des congés pour motifs familiaux, des services de garde, des horaires souples et des mesures de sécurité sociale”, c’est entre autre le plaidoyer lancé à l’occasion de la cloture du mois de la femme.
Si la Skyborne Research Fondation s’y emploit déjà à travers diverses opportunités et conditions optimales qui permettent l’épanouissement de ses femmes. Tout en réiterant leur soutien aux FARDC, ces dernières demandent à l’Etat congolais de tout mettre en oeuvre pour retablir la sécurité dans la partie Est.
“Nos femmes disent non aux hostilités dans l’est de la RDC pour permettre à la femme de s’investir dans le progress”, poursuit Mme Biibi Rehema Namegabe.
Il faut dire que la clôture du mois de la femme a coincidé avec la fete de Paques, dimanche 31 mars.
Par cette occasion, le PDG de Skyborne John Sila Mwanzia a adressé ses joyeuses fete de paques à toutes et à tous.
Il sied de rappeler que Skyborne Hospital se fixe comme priorité la santé des patients.