Le Président de l’Assemblée Nationale, le Professeur Vital Kamerhe, a échangé avec une délégation de la Plateforme des Confessions Religieuses venue solliciter l’appuie de la chambre basse du parlement pour inscrire dans le Budget 2025 une ligne budgétaire consacrée au fonctionnement de la
Commission d’intégrité et de médiation électorale (#CIME), sa structure technique spécialisée dans l’accompagnement du processus électoral à travers la prévention, la gestion et la médiation des conflits
Conduite par l’Archevêque Ejiba YAMAPIA, Président de la Plateforme des Confessions religieuses et Idryss KATENGA MOLOLWA, Président de la CIME, cette délégation a aussi sollicité la mise en place d’un cadre d’échange entre la Plateforme des Confessions Religieuses et l’Assemblée Nationale afin de permettre à cette structure d’apporter sa pierre dans toutes les réflexions sur la recherche des solutions aux problèmes de la Nation
«La plateforme des Confessions religieuses à travers la CIME est un partenaire de haut rang du Gouvernement. La CIME intervient pour beaucoup dans le processus électoral depuis sa création. Il est donc normal qu’aujourd’hui nous puissions bénéficier de l’appuie du Gouvernement. C’est la raison de cette démarche que nous faisons auprès de l’autorité budgétaire pour solliciter que le fonctionnement de la CIME puisse être inscrit dans le Budget de l’état » a déclaré EJIBA YAMAPIA Evariste, Président de la Plateforme des Confessions Religieuses.
Très attentif à leurs doléances, le Président de la Chambre basse du Parlement, le Professeur Vital Kamerhe, a salué l’engagement de la CIME dans l’accompagnement du processus électoral et le partenariat entre les Confessions religieuses et le Gouvernement congolais dans la promotion de la démocratie en RDC.
Il a suggéré à la CIME, à travers ses experts, de travailler sur la proposition du budget de fonctionnement de cette structure et de tous ses organes afin d’avoir un document de base qu’ils vont venir défendre à la Commission Économique et Financière(ECOFIN),de l’Assemblée Nationale qui va en faire rapport à la plénière qui est souveraine.
D’autres part il s’est dit d’accord avec l’idée de la mise en place d’un cadre d’échange entre les Elus du peuple et les Confessions religieuses car tous ont en commun la proximité avec le problèmes réels de la Population.