La Commission électorale nationale indépendante (CENI) a déposé, jeudi 27 avril au bureau de la chambre basse du Parlement, son rapport de l’exercice 2022-2023.
Pour l’essentiel, ce rapport est fait de différentes activités réalisées au nombre desquelles figure en bonne place l’identification et l’enrôlement des électeurs, qui vient de prendre fin il n’y a pas longtemps.
A cela s’ajoutent les questions d’organisation interne au regard de tout ce que la Ceni a comme pressions, missions, objectifs et résultats obtenus au courant de l’exercice.
Accompagné de tous les membres du bureau et ceux de l’Assemblée plénière, le président Denis Kadima est allé déposer, jeudi 27 avril 2023, le rapport de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) au bureau de l’Assemblée nationale réuni pour la circonstance au cabinet du président, Christophe Mboso.
Devant la presse, le président de la Ceni, qui revendique plusieurs réalisations à l’actif de son bureau, a justifié sa démarche en affirmant qu’il s’agit d’un exercice légal à mettre au crédit du devoir de redevabilité des animateurs de toute institution publique, en l’occurrence la Ceni, appelée à rendre compte de toutes les activités réalisées durant période couvrant la période allant d’avril 2022 à mars 20 23.
« Les points saillants sont les différentes activités réalisées au nombre desquelles figure en bonne place l’identification et l’enrôlement des électeurs, qui vient de prendre fin il n’y a pas longtemps. A cela s’ajoutent les questions d’organisation interne au regard de tout ce que la Ceni a comme pressions, missions, objectifs et résultats obtenus au courant de l’exercice »,
a déclaré Denis Kadima
Avec un sentiment de satisfaction, il a également ajouté que « Globalement les résultats sont assez impressionnants pour une équipe qui a été mise en place avec beaucoup de retard. Nous avons pu réaliser un grand travail. Aujourd’hui, nous pouvons nous féliciter du fait que l’enrôlement des électeurs a été fait en un temps record ».
Dissipant tous les doutes quant au respect du délai constitutionnel pour l’organisation des élections en décembre 2023, il a déclaré :
« Il n’y a plus de doute, tout le monde peut se rendre compte que cette équipe est au travail, nous sommes sur la dernière phase de finalisation et de consolidation de la liste des électeurs.
Après, on va passer à la loi de la répartition de sièges. Aussitôt après, nous allons commencer à recevoir les candidatures. Donc nous sommes sur la dernière ligne droite vers les élections. Nous avons atteint le point de non-retour ».
Laproximité.cd