Après un coup d’État raté en 2019, lors duquel des militaires avaient tenté de profiter du mauvais état de santé du président, Ali Bongo pourrait donc être déchu pour de bon.
Le chef d’État gabonais, élu pour la première fois en 2009, s’est vu reprocher depuis le début de sa carrière politique d’avoir hérité du pouvoir de son père Omar Bongo, président de la république gabonaise de 1967 à 2009.
«J’ai gagné ma place, elle ne m’est pas tombée comme ça. Au contraire, mon nom était un handicap», se défendait Ali Bongo au lendemain de son élection à la présidence en 2009.
Avec le Figaro