À Goma, Caïus Matata présente à la population le condensé de ses premières actions à mener une fois élu député national

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Devant une foule immense réunie dan la salle Vegas de Ndosho dans une méga matinée politique, dans la ville de Goma, au Nord-Kivu, le coordonnateur national de la plateforme, Soutenons Vital Kamerhe (SVK), Mr Caïus Matata a fait les points sur ses premières actions à mener, une fois élu député national.
Réaffirmant ainsi sa candidature à la députation nationale dans la ville volcanique, Mr Matata, bien porté par la population, a résumé sa vision en 2 points.
Premièrement combatte le chômage.
En effet, ce jeune leader, conscient du chômage qui gangrène la plupart des congolais et particulièrement les jeunes, Caïus Matata, qui se veut être leur porte-parole, attend en faire son cheval de bataille.
Pour lui, le chômage demeure un fléau qu’il faut à tout prix éradiquer en RDC. Eh bien, ce futur représentant du peuple croit que c’est possible d’y arriver.

Il suffit, dit-il qu’entant que député, d’user de ses prérogatives constitutionnelle. À cet effet, une fois élu, Caïus Matata Kahusi, compte initié une loi dans ce sens, afin que tous les « chômeurs » une fois identifiés trouvent de l’emploi, à défaut que l’État mette en place un mécanisme pouvant facilité leur prise en charge financière, comme ça ce fait dans plusieurs autres pays.
Il ajoute à ce sujet que ceci va constituer dès ce jour, une vaste campagne à laquelle il invite toute la population à adhérer, elle étant la première victime de cette situation, qui est née d’une part, de l’inégalité sociale au pays et du népotisme en plus des manques des politiques claires pour endiguer ce fléau.

Deuxièmement, l’éradication de la criminalité.
Un député national a un grand rôle à jouer dans la question sécuritaire au niveau de sa circonscription et au pays.
C’est ce que laissé entendre en manchette, ce candidat du changement, dans la ville de Goma. Revenant sur ce deuxième point, Caïus Matata juge d’inadmissible le fait que Goma soit une ville militarisée, mais où règne encore plus l’insécurité en pleine état de siège, en plus du manque des policiers dans certains quartiers.
Il dit pouvoir prendre cette question à bras le corps au niveau de l’Assemblée nationale, une fois élu, à travers des propositions concrètes à l’hémicycle nationale. Ceci passe par notamment l’amélioration des conditions des vies (salariales) des militaires et des policiers, ce qui va créer de l’émulation dans le rang de la jeunesse, et l’encourager à intégrer ces unités de défense et de sécurité.

Tout en saluant la campagne de la société civile, « zéro élu, réélu », qui fait allusion à l’échec des élus de la législature en cours à apporter des solutions aux problèmes des leurs électeurs, le coordonnateur national de SVK, compte effectuer la ronde des 18 quartiers de Goma, pour échanger en mode de proximité avec la population à la base, et recueillir d’ores et déjà d’autres problèmes qui constitueront sans doute, son cahier des charges.

Pascal Ngaboyeka

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